• Rétention des eaux arrivant dans la zone humide (eaux de ruissellement, eaux de pluies, eaux de crues,…)

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• Réduction et retardement des volumes d’eau à l’origine d’une diminution du taux de croissance des débits de pointes

• Décalage entre l’arrivée des pics de crues au niveau des confluences

• Toute zone humide située à un niveau topographique plus élevé que la nappe peut participer à sa recharge par infiltration des eaux de la ZH vers la nappe au travers d’un substrat perméable

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• Les ZH stockent de l’eau pendant les périodes de crues et de fortes précipitations. Elles vont ensuite relarguer de façon plus ou moins lente et retardée. Cette restitution peut parfois s’étaler jusqu’à la période d’étiage ce qui contribue au maintien du débit d’étiage

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• Par dissipation de l’énergie des eaux (diminution du débit d’un cours d’eau par stockage de gros volumes d’eau dans des zones d’expansion des crues, végétalisation des dépôts créant des zones contre l’érosion du courant)
• Par érosion de la zone humide qui induit une augmentation du transport solide et donc une diminution de l’énergie du cours d’eau, de sa vitesse et donc de sa capacité érosive